dimanche 3 mars 2013

Vacances en Corse avec Ollandini



Inutile de vous rappeler combien j’aime la Corse, ne m’en demandez pas pourquoi...les raisons en sont trop nombreuses, et la première est sûrement parce que je suis mariée à un Corse qui n’a eu aucune difficulté à me transmettre l’amour de son pays.
Alors commençons par la Corse du Sud, avec les Calanches de Piana, Cargèse et ses deux églises, l’une traditionnelle, l’autre Grecque et toute son histoire. Le golfe de Porto, inoubliable quand vous l’aurez vu, aucun autre golfe au monde ne vous paraîtra aussi beau. (Ce n’est pas pour rien que ses richesses sont classées au Patrimoine Mondial de l’Unesco)
Les îles sanguinaires dont les chats ont fait leur domaine.
Voilà, ça c’est ce que je connais bien, le reste vous pourrez le découvrir avec les voyages Ollandini.Biz
Cela dit, essayez de trouver leur catalogue, bien plus attractif que leur site, à mon goût
Pour connaître un peu mieux la mentalité des Corses voici quelques anecdotes trouvées sur le catalogue Ollandini

La plage et les Corses
L’anecdote prête à sourire : honnies, car soumises aux multiples invasions humaines et aux assauts intempestifs des moustiques, les terres du littoral étaient dédaigneusement donnée aux femmes.
Un siècle plus tard... quand on voit ce qu’est devenue la plaine orientale par exemple, <ui va de Bastia à Bonifacio, en passant par Solenzara, Porto-Vecchio... C’est sûr qu’aujourd’hui, il ne serait plus question de laisser tout ça aux femmes...

Les fameux « Bandits Corses »
A chacun ses bandits !
Au 19e siècle, certains bandits corses, soucieux d’échapper à la justice de leur pays, quittaient Bonifacio pour chercher refuge en Sardaigne. Leurs homologues sardes effectuaient, eux, la traversée en sens inverse. Des « passages » devenus si fréquents que les « îles jumelles » durent s’accorder à deux reprises en 1819 et 1843, pour s’échanger leurs bandits respectifs on fit même surveiller les bouches de Bonifacio par des navires de guerres

La plaine orientale ou Côte orientale
Si vous commencez par « le sommet » de l’île autrement dit  le Cap Corse, commencez par visiter le village de Macinaggio -Macinaghju-  http://www.macinaggiorogliano-capcorse.fr/ - vous ne le regretterez pas, son port est magnifique et vous pourrez découvrir des plages de sable fin tout au long du Cap. Saint Florent hyper touristique mais si souvent peint par des peintres venus du monde entier.
Puis Bastia la génoise. Bastia qui tire son nom tout simplement de « bastion », fameux bastion qui fut pendant longtemps la prison en ruine de toute la Haute-corse.

Une jolie histoire corse : coca corsa
Il était une fois un préparateur en pharmacie originaire de Peru Casavechje en Haute Corse, qui, en 1863, inventa une boisson tonique. Réalisé à partir de vin de Bordeaux et d’extrait de coca, le Vin Tonique Mariani, ainsi baptisé en raison du nom de son créateur, connut un grand succès à travers toute l’Europe. Le pape Léon XII, lui-même –dit-on – aurait eu une fiole en permanence sur lui en cas de nécessité. On raconte que cette boisson serait à l’origine du French Wine Coca, ancêtre alcoolisé et « cocainisé » d’un célébrissime soda américain...
Et maintenant la Balagne. Si je n’avais qu’une seule région de Corse à vous conseiller c’est bien celle-là.
Jean Giraudoux en a si joliment parlé
« Le bonheur est une petite chose que l’on grignote, assis par terre, au soleil. Et du soleil, la Balagne en regorge. Source de vie et de fertilité, de lumière et de chaleur, il invite à la torpeur.
Il conduit les bienheureux à travers les nombreux vergers d’oliviers, de figuiers, d’orangers. On respire les parfums. On devine les arômes. On se surprend à rêver à la promesse de savoureux délices fruités. Que l’on découvre, village par village, au gré des auberges. Le Pays de Balagne est riche de ses jardins. De ses villages accrochés au flanc de colline... »
Commencez par le désert des Agriate, vous serez éblouis entre maquis et plage, une faune et une flore surprenante, des grottes et abris troglodytes, abris de bergers abandonnés. Prenez un guide, bien sûr. Et suivez les conseils  de Jean-Marc Ollandini

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