dimanche 23 décembre 2012

Plus Beaux Textes sur les Mères


La Mère
Elle est leur terre...elle est leur nourriture et leur lit et cette couverture qu’on rajoute quand la nuit devient froide ; elle est leur chaleur et leur santé et leur abri
Katherine Buttler Harhaway

Je puisais surtout l’âme de ma mere, je lisais à travers ses yeux, je sentais à travers ses impressions, j’aimais à travers son amour, elle me traduisait tout : nature, sentiment, sensations, pensées. Sans elle, je n’aurais rien su épeler de la création que j’avais sous les yeux ; mais elle me mettait le doigt sur toute chose.
Son âme était si lumineuse, si colorée et si chaude, qu’elle ne laissait de ténèbres et de froid sur rien. En me faisant peu à peu tout comprendre, elle me faisait en même temps tout aimer.
Lamartine « Confidences »

Le premier hymne d’amour fut cet hymne au lait maternel, chanté ^par tout le corps de l’enfant, accueillant, embrassant, écrémant de tous ses moyens la précieuse nourriture.
Alain « Propos sur le bonheur »

Les enfants d’une mère sont comme des rêves. Aucun n’est aussi merveilleux que les siens
Proverbe chinois.

Mon avis est que, quoi qu’en disent les gens, qui que ce soit qui parle ou quelque soient les superlatifs employés, un bébé n’est jamais aux yeux de sa mère suffisamment admiré.
E.V. Lucas

Ce sont trois paires d’yeux que les mères devrait avoir : une pour voir à travers les portes, une derrière la tête et, bien sûr, une paire devant pour voir quand son enfant fait une bêtise et refléter « je comprends et je t’aime » sans même dire un mot.
Erma Bombeck

Je n’oublierai jamais ma mère, car c’est elle qui a planté et fait grandir en moi les premières semences du Bien elle m’a ouvert le cœur au spectacle de la nature. Elle a éveillé mon intelligence des choses et élargit mon horizon ; ses conseils eurent une influence durable tout au long de ma vie.
Emmanuel Kant


Une mère ne voit jamais le vilain petit canard dans sa nichée de poussin
Doym

Ils se retourneraient toujours avant de dépasser l’angle de la rue, car leur mère était à la fenêtre, hochant la tête, souriant et agitant la main vers eux. C’était comme si, sans cela, ils n’auraient pas eu une bonne journée. Ce dernier regard vers le visage maternel les touchait au fond du cœur, comme un rayon de soleil
Louisa May Alcott

Si de toutes les affections douces, de toutes les actions honnêtes et généreuses dont nous sommes fiers, l’on pouvait découvrir le premier et véritable germe, nous le trouverions presque toujours dans le cœur de notre mère.
Edmondo De Amicis

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