samedi 19 janvier 2013

Gustave Flaubert



Gustave Flaubert est natif de Rouen
Rue de Lecat se trouve sa maison natale, logement de fonction de son père - chirurgien -, dont la fonction est largement évoquée dans la demeure: salle des malades, céramiques qui contenaient les remèdes, cabinet de curiosités anatomiques… qui inspireront largement certaines scènes des romans de l’auteur de Madame Bovary.
Cette maison est devenue le «Musée Flaubert et d'histoire de la médecine». En bord de Seine, on peut découvrir le cabinet de travail de l’écrivain, ses meubles et effets personnels dans le Pavillon Flaubert, à quelque distance du musée.

« Un bœuf au labour » C’est à cela que se comparait Gustave Flaubert (1821-1880), signifiant par-là que l’écriture représentait pour lui un vrai labeur. Fils d’un chirurgien rouennais, il fut très tôt fasciné par le théâtre, l’Orient et l’Antiquité. Ses premiers écrits, autobiographiques  comme chez la plupart des auteurs, se réfèrent à une passion de jeunesse ; Elisa Schlésinger, rencontrée quand il avait 15 ans. En 1845, il rédigea une première version de l’Education sentimentale.
Il fut perturbé dès 1841 par une maladie des nerfs qui, entre autres, lui faisait craindre d’être enterré vivant.
Il disait qu’un écrivain « devait être dans son œuvre comme Dieu dans l’Univers, présent partout, visible nulle part »
Il a dit aussi : « Les dieux n’étant plus et le Christ pas encore, il y a eu de Cicéron à Marc Aurèle, un moment unique, où l’homme a été seul ! »

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